lundi 10 février 2014

CNRS, UPR 3756, Sociologie du genre

Parmi mes collègues chercheuses en sociologie au CNRS, souvent féministes patentées et militantes, je fais un peu figure d'OVNI.
Et oui ! Je tiens à ma féminité. Donc pas question pour moi de mettre des pantalons, ou autres shorts.
Hiver comme été, et en toutes circonstances, je porte toujours une jupe, ou une robe !


J'y tiens énormément. Depuis des siècles en Occident, la jupe est le vêtement féminin par excellence.
Catholique convaincue, et pratiquante régulière !  je n'oublie jamais que le Seigneur nous a créés homme ou femme.
Veiller sur ma féminité, que je veux irréprochable, est donc aussi, outre un bonheur quasi sensuel, une façon d'honorer mes parents et mon Créateur.



A 28 ans, je n'ai pas encore trouvé l'homme qui deviendra mon mari et le futur père de mes enfants. J'habite donc encore chez mes parents.
Cette situation a bien des avantages. Ma mère, qui a rapidement arrêté de travailler afin de nous élever, mes 4 jeunes sœurs et moi, assure l'essentiel de l'intendance. Je peux ainsi me consacrer davantage à mes recherches.
Les études de genre sont en effet un domaine passionnant, mais qu'il ne faut en aucun cas laisser aux gauchistes et autres extrémistes de l'indifférenciation.
Et donc, lorsqu'il le faut, je ne crains pas de m'engager pour défendre mes convictions !


Mais surtout, j'aime aussi la vie de famille, l'amour de mes parents, la complicité avec mes sœurs. Nous formons une famille traditionnelle, où chacun a son rôle et sa place : le père, chef de famille, la mère, qui le seconde, et enfin les enfants. 
La vie de famille, sous un même toit, implique des règles. Ainsi, nous les filles, quel que soit notre âge, devont respecter l'autorité de nos parents, leur obéir, être sages, et bien nous comporter avec tous et en toutes choses.
Sinon, nos père et mère ont toujours su, au besoin à l'aide de quelques bonnes fessées, généralement déculottées, nous ramener rapidement dans le droit chemin.


Je vais encore vous surprendre, mais ne croyez pas que mes 28 ans me mettent totalement à l'abri de ce traitement. Quand il m'arrive encore de le mériter, je n'y coupe pas.
Ainsi il y a à peine un mois, alors que fatiguée et irritée par mes règles qui arrivaient, je me suis lors d'une réunion de famille, et pour une broutille totalement insignifiante, montrée d'une insolence inouïe avec Maman qui, la pauvre, en a eu les larmes aux yeux. 


La réaction de Papa a été immédiate, et parfaitement appropriée. Il s'est rapidement dirigé vers moi, m'a saisie par le poignet, avant de m'entraîner à l'étage jusque dans ma chambre.
J'ai immédiatement compris que je venais là de commettre une énorme erreur, et qu'il était trop tard pour me racheter. Mon père, lieutenant-colonel dans l'infanterie avant sa reconversion comme consultant, ne badine pas avec l'éducation et la vertu des filles. Pour l'avoir déjà vécu tant de fois, avec Papa comme avec Maman, je savais parfaitement ce qui m'attendait. J'ai bien protesté un peu tout en reconnaissant ma faute, demandé pardon et promis de ne plus recommencer, et argué qu'à mon âge une fessée était trop humiliante et qu'il pourrait trouver une autre façon de me punir. Rien n'y a fait. Comme il procède toujours, mon père s'est calmement assis sur mon tabouret, m'a installée en travers de ses cuisses et, me tenant fermement par la taille pour bien me maintenir en place, m'a relevé la jupe, baissé la culotte, et longuement administré une fessée exemplaire, qui m'a laissée toute pantelante et pleurnichante. 



Une fois calmée et reculottée, mes larmes séchées, je suis redescendue au salon en suivant mon père.
Alors, devant toute la famille réunie j'ai du, tête baissée et rougissante, présenter mes excuses à Maman, qui m'a pardonnée de bon cœur.



Cet incident m'a rappelée qu'en portant une jupe, je permet aussi à mes parents,
( et plus tard, ce sera la responsabilité de mon mari )
d'accéder facilement à mes fesses chaque fois que j'ai besoin d'être recadrée. 

Et, pour cela aussi,
même si sur le moment il n'est, vous pouvez me croire, jamais agréable d'être déculottée et de recevoir une bonne fessée !  
sans hésitation je vote pour la jupe.


Car je suis une fille et j'y tiens !


Ah s'ils savaient !

Ceux qui croisent cette jeune femme si confiante, à la démarche assurée,
Qu'à 28 ans passés, lorsqu'elle se conduit mal !
Elle se retrouve penaude, dans la chambre parentale,
Sur les genoux paternels, recevant la fessée !