mardi 22 septembre 2015

Première déculottée


Résignée, je me suis docilement laissée conduire sur ses genoux. 

J'anticipais une fessée exemplaire, et je ne me suis pas trompée. Le Docteur m'a immédiatement troussée, et copieusement fessée.



Je tachais de rester stoïque et de recevoir courageusement ma fessée. D'autant plus que le Docteur m'avait clairement indiqué que cette fois-ci je n'échapperai pas à la déculottée.

Celle-ci n'a pas tardé à venir. Etonnée d'une courte pause accordée pendant cet orage, j'ai tout à coup senti ses mains saisir l'élastique de ma culotte. J'ai eu un bref geste de défense, bien inutile, et l'ai supplier de n'en rien faire, promettant d'être dorénavant une fille exemplaire avec mes parents.


Naturellement il a poursuivi sa tâche, ainsi qu'il se devait. La fessée à repris de plus belle, sur mes pauvres fesses désormais dépourvues de la moindre protection.


Les claques tombaient avec une précision de métronome. Cinq claques sur une fesses, bien réparties afin de garantir un échauffement et une teinte uniforme, puis sans aucune pause cinq claques sur l'autre fesse selon la même méthode. Ainsi sans interruption pendant un temps qui me sembla une éternité.

Puis le Docteur marqua une pose. Sans me lâcher, me tenant toujours fermement par la taille, il entrepris de me sermonner à nouveau.


- "Vous avez désobéi à vos parents et été insolentes avec eux jeune fille. Vous avez d'autant mois d'excuses que vos parents sont sans reproches, et qu'ils ont veillé à vous donner la meilleure éducation et vous transmettre de bonne valeurs."

- "Oui Docteur. J'ai honte, je regrette vraiment."

- "Et votre conduite est d'autant plus inadmissible que vous être par ailleurs une jeune catholique, observante et pieuse. Vous ne pouviez ignorer que l'Evangile, et tout l'enseignement de l'Eglise, enseigne l'importance du respect du aux parents. Vous le saviez Mademoiselle ?"


- "Oui Docteur !" répondis-je en pleurant

- "Je suis heureux de constater que votre contrition semble profonde et sincère. Mais pour que votre rédemption soit totale, votre punition doit être exemplaire."

- "Oh Docteur ! J'ai déjà les fesses en feu"

- "Pas encore Mademoiselle, mais bientôt, je vous le promet. Pour cette faute inadmissible, une correction exemplaire s'impose. Je vais donc terminer votre fessée par quelques minutes avec la brosse à cheveux. Une fessée à la brosse à cheveux est une expérience mémorable. Les résultats n'en sont que meilleurs."


- "Nooon, je vous en supplie Docteur ! Pas la brosse !!!" hurlais-je désespérée

En effet il me revenait immédiatement à l'esprit les fessées mémorables administrées par Maman, à moi ou à mes soeurs, pour les fautes les plus graves. Des moments terribles, qu'aucune jeune fille ne peut oublier.


J'ai eu beau supplier désespérément avec toutes les larmes de mon corps, le Docteur a tenu sa promesse. La fessée repris de plus belle, atrocement cuisante sur ma peau sans défense. Je criais et battais bras et jambes, implorant pardon et promettant d'être sage, mais rien n'y fit. Une danse terrible qui me paru interminable.

Quand elle cessa enfin, je sanglotai quelques minutes sur ses genoux, comme inerte et agitée seulement de brefs soubresauts. Il me consola et m'envoya quelques minute au coin pour finir de me calmer et réfléchir à ce qui venait de m'arriver.

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En début d'après-midi je retrouvai comme prévue ma copine Sylvie. Celle-ci me proposa d'aller à la piscine. Je piquai immédiatement un fard et déclinai, prétextant avoir mes règles. Aucune envie que toute la piscine découvre mes fesses toutes rouges ! J'en aurais littéralement été morte de honte.




lundi 21 septembre 2015

Envoyée au coin avant ma punition, afin d'y réfléchir sur ma mauvaise conduite... et ses conséquences


"One of those lovely reminders that no girl is ever too old to be brought back into line if she forgets the rules on good manners and behaviour…"

Source : 
http://oh2bagirlygirl.tumblr.com/post/83550413056


- Sophie !

- Oui Docteur ?

- Levez vous jeune fille, et venez maintenant vous coucher sur mes genoux.


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dimanche 20 septembre 2015

Deuxième rendez-vous chez le Docteur Spank


Vendredi matin, me voilà bien malgré moi de de retour chez mon fessologue 


- Le Père Lecordier m’a expliqué vos problèmes avec l’autorité parentale. Vous avez trop souvent tendance à vous révolter, et à désobéir à vos parents.

- Oui, je le reconnais, et c’est ce que je voudrais changer !

- Vous êtes majeure certes. Mais vous n’êtes pas mariée. Ce sont donc toujours vos parents qui ont autorité sur vous. Nous sommes d’accord ?

- Oui Docteur.

- De plus vous ne travaillez pas. Vos parents financent vos études, votre logement à Paris, etc. Vous revenez d’ailleurs chez eux en province tous les week-end.

- Oui, c’est bien cela.

- Donc, que vous ayez 24 ans n’y change rien. Vous êtes encore pleinement sous l’autorité de vos parents. A ce titre vous leur devez respect et obéissance.



- Oui, je suis d’accord.

- Pourtant, ce n’est pas toujours ce que vous faites.

- Oui Docteur, parfois je me conduis mal.

- Trop souvent ! A plusieurs reprises vous vous êtes confessée auprès de votre aumônier, et pris l’engagement de vous amender. Malgré cela vous persistez à vous révolter, à être insolente, et à désobéir à vos parents.

- Je le regrette. Vraiment.

- Je vais veiller à vous le faire regretter plus encore, jeune fille. Vous allez recevoir une bonne fessée. Vous comprenez ce que cela signifie.

- Oui. Sniff !

- Quand vos parents vous ont-ils donné votre dernière fessée Mademoiselle ?



- Il y a 5 ans. J’avais 19 ans. J’avais fait une très grosse bêtise, et Maman m’a donnée une fessée magistrale, à la brosse à cheveux ! Je ne suis pas prête de l’oublier !

- Vous étiez déculottée ?

- Bien sûr. Maman considère qu’une bonne fessée doit toujours être déculottée. Ni moi ni mes soeurs n’y vont échappé.



- Je le pense aussi. Cette fois-ci vous n'allez donc pas y couper.

- Oh mon Dieu ! Vous ne serez quand même pas trop sévère j’espère ?

- Cela, j’en suis le seul juge Sophie. 

- Oui Docteur, bien sûr.

- Allez Sophie ! Je crois que nous avons assez parlé. Allez vous mettre au coin et repentez vous une dernière fois de vos fautes. Demandez au Seigneur de vous aider à bien profiter de l’épreuve qui vous attend.

- « Oui Docteur, tout de suite » murmura humblement Sophie en gagnant le coin comme prescrit.

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samedi 19 septembre 2015

Ma toute première fessée d'adulte


Après m'avoir bien sermonnée le Docteur m'a installée sur ses genoux et a commencé à me fesser sur ma jupe.


A mon âge, il est extrêmement gênant de se retrouver en pareille position pour y recevoir une fessée. Mais d'un autre côté je me sentais rassurée et entre de bonnes mains.

Le Docteur n'y allait pas de main morte. Bien que protégées par ma jupe mes fesses commençaient à sérieusement chauffer. J'ai prié le Docteur d'arrêter, lui assurant que j'avais bien retenu ma leçon.


- Vous plaisantez Mademoiselle, arrêter la fessée tout de suite, alors que je ne vous ai même pas encore remonté la jupe ! 

- Oh non ! Ne me troussez pas je vous en prie ! Je ne veux pas que vous voyiez ma culotte ! S'il vous plaît Docteur !

- Pour cela Mademoiselle, il ne fallait pas imprudemment montrer votre culotte aux passants. J'espère bien que vous avez honte, et cela fait partie du traitement.
dit-il en en entreprenant de retrousser ma jupe


A 24 ans, je me retrouvais ainsi sur les genoux d'un homme ! D'un quasi-inconnu. Jupe retroussée et culotte exposée, mes fesses chauffées au rouge sous ses assauts déterminés. Quelle honte pour une jeune fille indépendante de mon âge ! Mais aussi une punition bien méritée, dont le souvenir et la crainte du renouvellement m'aideront à bien me tenir à l'avenir.




Je continuerai bien sûr à porter des jupes et robes courtes. Car je suis fière d'être une femme et fière de mes jambes, et que j'adore sentir le vent et le soleil sur ma peau. 

Mais c'est promis, maintenant je serai plus prudente !





vendredi 18 septembre 2015

Sermonnée pour mon inattention

- Sophie ?

- Oui Docteur ?

- Vous savez pourquoi je vous ai convoquée aujourd’hui ?

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- Je crois Docteur. Ma mère m’en a parlé dimanche soir quand j’ai repris le train pour Paris.

- Sophie. Je sais que vous êtes une jeune fille sage et vertueuse. A cet égard c’est très bien, contrairement malheureusement à une majorité de jeunes filles aujourd’hui, de veiller à vous mettre en jupe en toutes circonstances.

- Merci

- Néanmoins, quand vous êtes en jupe, surtout en jupe courte à cette saison, il faut bien faire attention à n’en pas montrer plus que vous devez. Se mettre en jupe c’est très bien ; mais montrer sa culotte c’est plus vilain. Votre mère vous à pourtant appris à serrer les genoux, les bons gestes à apprendre pour s’assoir, se baisser, se lever, etc ?

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- Oui Docteur. C’est entièrement de ma faute, j’en ai vraiment honte. Pourtant le sais et j’essaye de faire bien attention. Pourtant parfois cela m’échappe et je pêche par inattention.

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- Trop souvent Mademoiselle. Vos parents vous l’ont souvent fait remarquer. Sans amélioration durable jusqu’ici.

- Oui. Vous avez raison.

- Et que va-t-il se passer maintenant ?

- Vous allez me donner une fessée ?

- Oui. Et même une bonne fessée. Et vous ne garderez pas votre jupe cette fois-ci.

- Oh non Docteur, s’il vous plaît ! C’est seulement ma deuxième fessée !

- Vous avez montré votre culotte en public jeune fille, vous allez aussi me la montrer. Et je vous promet une paire de fesses toutes rouges.

- Oh mon Dieu !

- Sophie ?

- Oui Docteur ?

- Vous êtes prête ?

- Alors venez maintenant sur mes genoux jeune fille.

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Arrivée au cabinet du Docteur SPANK


- Bonjour Mademoiselle

- Bonjour Docteur

- Asseyez vous je vous en prie

- Merci

- Vous m’avez été adressée par le Père Lecordier de l’ACEF. Je travaille régulièrement avec lui. C’est un aumônier de grande qualité.

-  Oh oui, en effet !

- Et je vous félicite, Mademoiselle, d’avoir fait ce choix courageux. Il se développe, mais reste encore minoritaire. On estime que seules 10% des jeunes filles bénéficient d’un suivi disciplinaire régulier.

- Je crois que cela me fera du bien.

- J’en suis persuadé Mademoiselle. Et je vois que vous avez choisi l’option «double transparence ». Je vous félicite. Comme le père Lecordier vous l’a expliqué, la confidentialité est levée de manière double.
D’une part le père Lecordier est, vis à vis de moi, délié du secret de la confession. Il pourra donc m’avertir des fautes que vous lui aurez confessé, et me faire toutes suggestions sur la discipline qu’il pensera utile.
D’autre part vos parents sont également avertis de la signature de ce contrat disciplinaire, et disposent de mes coordonnées. Ils peuvent donc eux aussi me tenir informé sur votre conduite, bonne ou mauvaise, et son évolution. Et suggérer eux aussi de vous punir.

- Oui. Je suis d’accord. Ainsi rien ne vous sera caché. Je ne me torturai pas à me demander comment avouer. Et je serai punie comme je le mérite, selon votre jugement.

- Vous avez parfaitement compris les choses Sophie. C’est très bien.

- Merci Docteur

- Je tiens à vous prévenir Mademoiselle. Je n’hésite jamais à faire preuve de toute la sévérité nécessaire. Recevoir une fessée n’est pas agréable, et le temps parait alors bien long. Une fessée fait mal. Toujours. Les fesses rouges sont généralement de rigueur. Une fessée met aussi à mal l’amour-propre et la pudeur : sauf exception, notamment au début, vous serez troussée et déculottée. Vous en êtes consciente jeune fille ?

- Oui Docteur ! Le père Lecordier m’a déjà expliqué tout cela. J’en suis consciente et je l’accepte. Je sais que c’est nécessaire, et que c’est pour mon bien.

- Les choses sont donc bien claires et acceptées. Je vous félicite encore Mademoiselle Sophie. Vous êtes une fille sérieuse et intelligente.

- Merci Docteur. Mais si j’étais si parfaite je ne serais pas ici dans votre bureau. Glups !

- Effectivement Sophie, et il est temps que nous en parlions…

- Oui




mercredi 16 septembre 2015

Aller à sa première fessée...

"Aller à sa première fessée c'est vivre, avant, une foule de sentiments paradoxaux : crainte, appréhension, envie, excitation... 


Pour ma part, même si je sais maintenant ce qu'est une fessée, je ressens chaque fois ces sentiments .../... cette imagination un peu affolée qui court toute seule" 

Mélanie

lundi 14 septembre 2015

Chez mon directeur de conscience (suite) : le contrat

- Sophie, vous n’êtes pas un cas unique. En temps qu’aumônier je confesse et conseille de nombreuses jeunes filles. Vous n’êtes pas la première avec qui j’ai cette discussion, rassurez vous. Et je connais effectivement un fesseur de toute confiance, qui pourra vous apportez ce supplément d’autorité et de discipline dont vous avez besoin. 

- Oh mon père, je vous remercie infiniment ! Que deviendrai-je sans vous !

- Ce n’est rien Sophie, je ne fais que mon devoir. Et vous êtes une fille intelligente et mûre, tout à fait capable de bien diriger votre vie.

- Merci mon père.

- Allez, je vais maintenant vous présenter le contrat que je vous propose. Il est exigeant, et comporte des contraintes. Une fessée, une vraie fessée, fait mal. Parfois même très mal. Recevoir une fessée disciplinaire n’est pas un moment de plaisir, je vous le garantie. 

- Oui, je m’en doute. J’ai déjà reçu des fessées par mes parents quand j’étais plus jeune.

- Et maintenant vous êtes une adulte. Attendez vous donc à des fessées plus sévères que lorsque vous étiez enfant ou adolescente.

- Oh mon Dieu !

- Oui. Car vous êtes maintenant plus grande, et donc plus résistante. De plus et surtout, vous n’êtes plus une adolescente mais êtes maintenant une adulte. Vous devriez vous comporter de manière irréprochable, ainsi que se sont efforcés de vous l’enseigner vos parents. Donc si vous ne le faites pas, vous méritez d’être punie plus sévèrement. Vous êtes d’accord ?
- Oui mon Père. Vous me faites honte, mais je le mérite.

- Une honte que vous éprouverez encore plus vivement lorsque votre fesseur vous couchera sur ses genoux, vous retroussera la jupe, vous abaissera la culotte.

- Mon Dieu ! Que n’ai-je été plus raisonnable !

- A défaut d’avoir été, par moments, tout à fait raisonnable, soyez maintenant une jeune fille digne et responsable. Acceptez loyalement les corrections que vous avez méritées. Recevez les docilement, comme il sied à une jeune fille bien éduquée. Elles sont une chance pour vous, vous permettront de mieux vous amender et de devenir meilleure. En outre recevoir une bonne fessée après une faute vous soulagera la conscience. Vous vous sentirez plus légère, moins coupable, mieux pardonnée. Par le Seigneur comme par vos prochains que vous auriez offensé (ce qui ne vous dispense pas de leur demander pardon, bien sûr).

- Vous avez raison mon Père. 

…/…

lundi 7 septembre 2015

Entretien avec mon directeur de conscience (1)


- Sophie,

- Oui mon père ?

- Vous êtes une bonne fille. Je sais que vous êtes sincère dans vos regrets, et votre désir de revenir à une vie pleinement chrétienne. Mais à chaque fois vous rechutez. Aussi je pense que vous auriez peut-être besoin d’une motivation supplémentaire pour vous aider à progresser et vous améliorer. Avez-vous pensé à ce que pourrait vous apporter un suivi disciplinaire régulier.

- Vous voulez dire… la fessée ? Mon Père ?

- Oui Sophie, c’est cela.

- Vous voudriez me donneriez la fessée ?

- Non ma fille, ce n’est pas mon rôle. Il existe des professionnels spécialisés pour cela, qui remplissent parfaitement leur rôle.

- Un fesseur professionnel ? Oui, j’en ai déjà entendu parler et j’y ai en effet déjà pensé. Mais je ne connais personne. Je ne vais tout de même pas téléphoner au premier inconnu trouvé dans les pages jaunes.

- Effectivement. Mais donc vous y aviez déjà réfléchi, et pensé que cela pourrait être un moyen de lutter contre vos écarts de conduite.

- Oui mon père. J’ai d’ailleurs plusieurs fois songé à vous en parler, mais je n’osais pas. C’est un peu gênant, à mon âge.

- Bien sûr Sophie. Je vous comprend. C’est gênant, mais utile. Voyez donc cette gêne, peut-être même cette honte, comme une partie de votre pénitence. L’humilité est précieuse pour accéder à la rédemption.

- Oui mon père, vous avez raison.

- Et les fesseurs professionnels sont justement destinés à des jeunes personnes de votre âge, qui ne sont pas encore mariées et n’ont plus, en général, l’opportunité d’être punies par leurs parents.

- Alors que cela me ferait du bien, j’en suis certaine.

- Je suis ravi, Sophie, de vous l’entendre dire.

- Pouvez-vous m’aider mon père ? Connaitriez-vous un fesseur de confiance à qui vous pourriez me recommander ?