samedi 6 avril 2013

J'aurais du me méfier !

Ce qui avait débuté comme une banale visite de courtoisie, s'est terminé... par une bonne fessée.

 De passage dans la région de Saint-Chamond pour une visite d'usine à l'occasion de mon stage d'application de fin d'études, j'ai décidé d'en profiter pour faire une visite de courtoisie à oncle Charles, cousin éloigné du côté de tante Amélie.

 Innocemment et un peu bêtement, pour me vanter de ma débrouillardise, je lui ai raconté comment jamais triché sur mon CV pour décrocher ce stage.

 

 Connaissant sa réputation de rigueur morale implacable, j'aurais du me méfier. Moi qui voulait faire la maline, je me suis faite sermonner en beauté sur les vertus d'honnêteté et de droiture.

Au début j'ai bien tenté quelques objections qui me paraissaient de bon sens, mais qui n'ont fait qu'exciter la fureur d'oncle Charles, viscéralement horrifié par toute forme de mensonge, en particulier venant d'une jeune fille qu'il croyait blanche comme neige.

J'ai donc rapidement compris que je ne gagnerai rien à lui tenir tête, et j'ai vite fait amende honorable. Quand au bout d'une demi-heure il a parut être calmée, j'ai cru être tirée d'affaire. Grossière erreur !

C'est en effet à ce moment qu'il m'a annoncé qu'une bonne fessée m'aiderait à bien retenir cette leçon ! Une fessée à près de 24 ans ! Alors que, bientôt ingénieure diplômée, j'allais sous peu encadrer des équipes d'hommes ayant deux fois mon âge !

Mais oncle Charles n'en avait cure. En tant qu'homme et largement mon aîné, et à ce titre représentant de l'autorité familiale, il se sentait investi de la responsabilité de recadrer la jeune fille égarée que j'étais à ses yeux.

 

 Respectant, comme me l'on inculqué mes parents, l'autorité des aînés, je n'ai pas tenté de résister et me suis vite retrouvée sur ses genoux.

 Une fois encore, j'ai cru bien m'en tirer quand il a commencé à me fesser sur la jupe. Nouvelle erreur ! Au bout de quelques minutes, et sans que j'ai pu faire un geste, je me suis sentie troussée ! La fessée s'est alors poursuivie sur ma culotte pendant une petite dizaine de minutes.

 Vu l'enchainement des évènements, qui me trottait dans la tête quand je parvenais à penser à autre chose qu'à mes fesses à la peine, je commençais à craindre le pire : la fessée déculottée.

Et cette fois-ci je ne me suis pas trompée ! Marquant une pause, oncle Charles a en effet annoncé qu'il était "temps de passer maintenant à la vraie fessée". J'ai compris tout de suite et tenté désespérément de plaider ma cause. Je lui assurait que j'avais bien compris la leçon, que je serai désormais la plus irréprochable des jeunes filles, et blablabla et blablabla.

 Sans écouter mes supplications il m'a alors calmement et soigneusement abaissé la culotte à mi-cuisses. J'étais morte de honte, ma dernière déculottée devait dater d'environ 4 ans. Mon sort était scellé. Pour oncle Charles, je le savais, une jeune fille reste une mineure tant qu'elle n'est pas mariée, et sa famille doit continuer à veiller fermement sur sa conduite.

J'ai alors abandonné toute idée de résistance et décider de me soumettre. Je me suis efforcée de prier, afin de recevoir dignement cette fessée, comme une marque d'amour, une incitation à l'humilité et à la vertu, une bénédiction et une chance, et d'en tirer le meilleur.

 

 J'ai la peau des fesses bien rougie. Merci petit Jésus !