lundi 18 avril 2022

Aumônerie Catholique des Jeunes filles - L'autorité parentale, et ses substituts éventuels

"Bonsoir les filles ! Un peu de silence s'il vous plaît."

...le brouhaha se calme...

"J'espère que les partiels et les vacances se sont bien passés pour chacune d'entre vous. Ce soir nous débutons notre nouveau cycle de réflexion. Après dépouillement de vos réponses à notre petit sondage, et consultation de notre aumônier le père Olivier, le bureau a fixé le thème de réflexion pour cette année scolaire. Nous réfléchirons et débattrons donc sur l'autorité parentale, et ses substituts éventuels."

... murmures dans la salle, certaines palissent ou rougissent...

"Nous sommes quasiment toutes majeures ici. Entre 18 et 24 ans pour la grosse majorité d'entre nous. Que peux, à notre âge, signifier l'autorité parentale ? Est-ce un vieux souvenir, peut-être jeté aux orties, ou est-ce encore d'actualité ? Comment la ressentons-nous ? Comment s'exerce-t-elle ? Qu'en pensent nos parents ? Certaines d'entre nous reçoivent-elles encore, ou à nouveau, des châtiments corporels ? Comment le vivent-elle ? Est-ce à leur initiative, ou contraintes par leurs parents ? Je vous propose donc de débattre sans tabous sur ce thème qu'il nous a paru intéressant d'explorer. "

... un silence religieux règne sur la salle, 30 paires d'yeux fixent attentivement Valentine, qui poursuit...

"Pour débuter, je vous propose que nous relisions la Bible. Que nous dit-elle sur l'autorité parentale ? J'appelle Ségolène à me rejoindre au micro."

... Ségolène se lève alors et rejoint la tribune...

"Merci Valentine. Bonsoir les filles. Je vais donc vous relire un extrait que vous connaissez sans doute toutes par coeur, le début du chapitre 6 de la lettre de l'apôtre Paul aux Ephésiens :

   "Enfants, obéissez à vos parents comme le Seigneur le veut, car cela est juste.
   Honore ton père et ta mère - c'est le premier commandement avec une promesse - afin que tu sois heureux et vive longtemps sur terre.
   Et vous les parents, ne poussez pas vos enfants à la révolte, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur"
... Amen !

Ségolène reprend :
"Selon moi, l'autorité parentale ne cesse donc pas à la majorité. Dix-huit ans est une limite parfaitement arbitraire. D'ailleurs auparavant la majorité était fixée à 21 ans. Pourquoi une jeune fille, qui était sous l'autorité de ses parents à 20 ans passés, ne le serait plus aujourd'hui dès qu'elle atteint ses 18 ans ? C'est absurde ! Nos parents restent nos parents. D'ailleurs nous sommes étudiantes et toujours dépendantes d'eux. Nous vivons encore sous leur toit, au moins le week-end pour celles qui viennent de province. Pour ma part, je pense que la limite est le mariage. Nous passons alors sous l'autorité de notre mari, pour fonder avec lui et sous sa direction une nouvelle famille."

Larges approbations dans la salle

Margot demande la parole :
"Je suis entièrement d'accord. La Bible nous demande d'obéir à nos parents et de les respecter. Nous avons de plus besoins d'eux, de leur expérience, des limites qu'ils peuvent nous fixer. Leur autorité s'exerce à notre service et pour notre bien. Je pense donc comme Ségolène que, jusqu'à notre mariage, nous devons la respecter."

Valérie intervient :
"Pour ma part j'ai bientôt 24 ans. Je termine mon master 2 cette année. Comme je n'ai pas de fiancé je compte chercher du travail et prendre un studio. Je serai alors matériellement et financièrement indépendante de mes parents. Dans ce cas je pense que l'autorité parentale se distend inévitablement. Par exemple je n'aurai pas de compte à leur rendre si je sors ou rentre plus tard le soir. De même ils ne sauront pas qui je reçois chez moi. Me connaissant, j'ai peur d'abuser de ma prochaine liberté. Mais comment mes parents pourraient-ils maintenir leur autorité dans ces conditions ?"

Ségolène lui répond :
"Effectivement, c'est plus compliqué. Mais dans ce cas c'est à toi de leur en donner la possibilité et l'opportunité. Tu t'entend bien avec tes parents ?"

"Oui, bien sûr ! Surtout avec ma mère. J'ai beaucoup de complicité avec elle."

"Et bien, si tu as le sentiment que tu as abusé de ta nouvelle liberté, confesse-toi à ta mère, afin de lui offrir la possibilité de te recadrer. Tu peux même lui en parler dès à présent, afin de préparer cette nouvelle étape de ta vie avec les meilleures chances de succès."

"Tu as raison. Merci ! C'est ce que je vais faire." répondit Valérie avec un sourire radieux.

Valentine reprend la direction du débat :
"Est-ce que certaines d'entre vous, ici, ne sont pas d'accord avec le principe de l'autorité parentale sur les jeunes filles majeures que nous sommes ?"

Elisabeth lève la main :
"Sur le principe de l'autorité parentale je n'ai aucun problème. Par contre tu as évoqué tout à l'heure les châtiments corporels. J'accepte naturellement l'autorité de mes parents. J'avoue même que j'en ai parfois bien besoin ! Mais je ne sais pas comment je réagirais si mes parents s'avisaient de me me donner à nouveau la fessée. Je n'en ai pas reçue depuis que je suis réglée, et je ne crois pas que je pourrais l'accepter."

Sarah prend la parole pour lui répondre :
"Je te comprend Elisabeth. Si tes parents voulaient, tout d'un coup et de force, t'administrer une fessée, ce ne serait sans doute pas la bonne façon de procéder, et risquerait de s'avérer contre-productif. Les parents doivent tenir compte de l'âge et de l'autonomie des leurs enfants, et négocier avec eux. Certaines règles ne doivent pas être imposées, mais introduites en douceur. "

"Même négociée, comme tu dis, je me vois mal accepter que mes parents me fessent à nouveau !", répond Elisabeth, la mine dubitative.

Alix intervient :
"Elisabeth, j'étais exactement dans le même cas que toi. Et pourtant il m'arrive aujourd'hui de recevoir la fessée, à MA demande. Je pense que certaines règles de discipline gagnent à être initiées par les jeunes filles elles-même. En ce qui me concerne c'est moi même qui ai demandé à mes parents de me donner à nouveau la fessée. Je sentais le besoin d'être recadrée et punie. Ils ont accepté. Je le vis très bien et je leur en suis très reconnaissante."

Elisabeth : "ça alors ! Quand même, j'aurais trop honte !"

Ségolène : "Justement. Je crois que la honte fait partie de la fessée. Comme la douleur. Ce n'est certes pas agréable sur le moment, mais justement c'est grâce à la honte et la douleur que la fessée est si efficace. Une bonne fessée nous permet alors de nous sentir punie, puis pardonnée. Cela ne dispense pas d'aller ensuite se confesser, bien sûr ! Chez moi les deux sont complémentaires, et font en quelque sorte partie de la thérapie."

Lorraine :
"Je voudrais rebondir au sujet de la confession : la fessée peut également intervenir après. Personnellement c'est ainsi que je suis revenue à la fessée, grâce à mon confesseur. Je m'explique. Après nous avoir donné l'absolution, le prêtre peut également nous proposer une "peine temporelle", à titre de purification. Je voudrais à ce sujet vous lire ce qu'en dit le petit livret diffusé par notre diocèse à l'occasion de l'année jubilaire de la Miséricorde, voulue par notre bon Pape François, année qui se termine dans quelques semaines :

"Tout pêché demande une double réparation. D'abord en faisant appel à la miséricorde de Dieu, notamment à la messe (c'est la préparation pénitentielle) et en demandant le sacrement de la pénitence et de la réconciliation (la "confession"). Ensuite en cherchant à réparer le mal commis, par exemple en avouant la vérité .../...
Aussi le Seigneur, dans sa justice et sa miséricorde, impose-t-il une peine liée à notre pêché, tant pour que soit rendue justice à celui que nous avons lésé, que pour que nous luttions plus efficacement contre les conséquences à long terme de notre pêché. Cette peine, on l'appelle "peine temporelle". Le pêcheur, bien que déjà pardonné par Dieu, peut encore avoir besoin de la purification de la peine temporelle. L'indulgence divine est donc intimement liée à une conversion du coeur et à une démarche manifeste de réparation, proposée non seulement au cours des années saintes, mais aussi de bien d'autres manières..."

"Je poursuis mon histoire. J'avais 19 ans et j'avais fait une grosse bêtise. Je suis donc allée à confesse. Mon directeur de conscience m'a écouté attentivement et m'a posé quelques questions. Après m'avoir donnée l'absolution il m'a fixé une peine temporelle. Je devais écrire une lettre à mes parents où je leur avouait ce que j'avais fait, ainsi que l'origine de ma démarche, et accepter docilement la punition qu'ils m'infligeraient.

Je dois avouer que mon confesseur connaissait très bien ma famille et mes parents, et je crois donc qu'il se doutait de se risquait de m'arriver. Quelques jours après l'arrivée de ma lettre mes parents m'ont en effet prise à part et vertement sermonnée. J'étais vraiment dans mes petits souliers ! Enfin le verdict est arrivé, annoncé par mon père : j'allais pour ma faute recevoir une fessée magistrale.

J'ai bredouillé que j'acceptais, puis ma mère ma prise par la main pour m'entrainer dans sa chambre. Une chaise trônait au milieu, la brosse à cheveux maternelle sur le coussin. Maman s'en est saisie, s'est assise et m'a couchée en travers de ses cuisses. Maman a commencé la fessée sur ma jupe, mais n'a ensuite pas tardé à me trousser. La douleur était déjà intolérable. J'ai cru défaillir quand ma mère m'a abaissée la culotte ! J'ai vraiment passé un mauvais quart d'heure. Une de ces fessées qui comptent dans la vie d'une jeune fille."

Bérangère : "Qu'est-ce que tu avais fait pour recevoir une telle punition ?"

Lorraine, piquant un fard :
"Ce que font parfois les filles de notre âge. J'avais comme on dit "croqué les oeufs avant Pâques". C'est parfois difficile de résister quand on a le béguin pour un garçon séduisant. Malheureusement je me suis vite rendu compte de mon erreur, regrettant amèrement de m'être donnée si vite !"

Virginie, l'air coquine et gêné en même temps :
"Je pense qu'il y en au d'autres, ici même, qui mériteraient une bonne fessée"

Légers rires et acquiescements dans la salle

 Virginie, reprenant :
"On sait bien qu'on ne commet pas un crime. En même temps notre conscience nous tarabuste un peu, nous disant que ce n'est pas très bien. J'avoue avoir parfois été tentée d'avouer certaines choses à ma mère, de recevoir une bonne fessée, suivie d'un gros câlin pour me consoler !"

Bérangère : "Pour cela je fais sans mes parents. Parfois, pour me punir, je pratique l'auto-fessée. Fesses nues, avec ma brosse à cheveux. Bon, je me doute bien que ce n'est pas tout à fait équivalent à une vraie fessée : quand la douleur devient forte on a irrésistiblement tendance à claquer moins fort, ou là où ça fait moins mal, et à marquer des pauses..."

Kim, l'interrompant brusquement :
"Je te confirme que c'est très différent d'une vraie fessée ! Tu y perd énormément. Lorsque tu reçois une fessée des mains d'une autre personne cela n'a rien à voir. Outre une fessée sans doute plus cuisante, tu perd réellement le contrôle et ressens un sentiment de vulnérabilité exacerbé. La fessée est vraiment une expérience unique ! Pas agréable du tout sur le moment - la crainte, le sentiment de honte, et la douleur - mais qui te libère vraiment et te permet ensuite de rebondir du bon pied."

Elisabeth :
"Tu es donc fessée toi aussi ! Et, si je peux me permettre une question indiscrète, est-ce par ton père ou ta mère ?"

Kim :
"En règle générale c'est par mon père, même s'il y a parfois des exceptions. Le père, le mari, incarnent traditionnellement l'autorité dans la famille. Je préfère donc que ce soit mon père qui me punisse, même si c'est gênant je te le concède. C'est un bon rappel du principe de l'autorité masculine,  que nous ne devrons pas perdre de vue quand nous prendrons notre envol, et je pense donc que c'est utile."

Sarah intervient :
"Pour ma part c'est toujours ma mère qui intervient. Entre femmes je trouve cela moins gênant, ma pudeur reste ainsi mieux respectée. Même si la honte reste toujours présente, ce qui est d'ailleurs une bonne chose et fait partie de la thérapie comme le disait Ségolène."

Ségolène confirme à son tour :
"C'est également généralement ma mère qui nous fesse, mes soeurs et moi. Et quand, exceptionnellement, mon père s'en charge, il ne nous déculotte pas. Mais, même culottées, je peux vous garantir que cela chauffe encore plus !"


mardi 15 mars 2016

Sermonnée

- "Ne crois-tu pas tout d'abord que te coucher à 22h soit déraisonnable ? Tu te lève tôt le matin, tu fais  des études difficiles, tu as donc besoin de sommeil. Je te rappelle les sacrifices que nous faisons pour te permettre de suivre ces études. Il es donc hors de question que tu les mettes en péril en menant une vie de patachon. Est-ce clair ma fille ?"
- "Oui Maman, c'est clair."
- "Ensuite, ne t'avons-nous pas appris l'obéissance ? L'obéissance aux autorités légitimes est une base de la vie en société. J'ajoute que c'est une qualité particulièrement importante pour une fille, car j'espère bien que tu te marieras un jour."
- "Oui Maman, tu as raison."
- "Tu avais toutes les raisons d'obéir à Mme Lambert. D'abord le contrat signé prévoyait cette heure de coucher, ou au moins d'extinction des feux. Ensuite tu habites chez elle, sous son toit, et doit donc respecter son autorité. D'autant, plus qu'elle t'es largement plus âgée. Ta désobéissance est donc inadmissible Sophie."
- "Oui Maman, je te demande pardon."


- "Ce n'est pas d'abord à moi que tu demande pardon, mais à Mme Lambert que tu as offensée. Après que je me sois occupée de tes fesses, nous lui téléphonerons. Tu reconnaîtras tes fautes et expliqueras que tu as été punie pour cela, et tu lui feras des excuses circonstanciées et sans équivoques."
- "Maman ! Je ne vais tout de même pas lui dire que tu m'as donné la fessée !"
- "Mais Sophie, je l'ai déjà prévenue que c'est ce qui t'attendais."
- "Oh mon Dieu ! Jamais je n'oserai réapparaître devant elle !"
- "Ne t'inquiète pas Sophie. Mme Lambert est une femme droite et bienveillante, qui a même de l'affection pour toi. Et, tout comme moi d'ailleurs, elle a elle-même reçu des fessées quand elle était jeune fille et le méritait."
- "Oui, je sais bien."
- "Revenons à ta conduite ma fille. Ce qui me met le plus en colère c'est l'insolence dont tu as fait preuve envers Mme Lambert, une femme chez qui tu logeais et qui aurait l'âge d'être ta grand-mère."
- "Je regrette Maman"
- "Lorsque j'ai reçu le mail de Mme Lambert, se résignant à m'informer de ton comportement, j'étais morte de honte et particulièrement vexée ! Passe encore que tu ai désobéi, je l'ai parfois fait moi-même étant jeune. Mais l'insolence et l'irrespect dont tu as fait preuve envers une personne âgée est à mes yeux une faute extrêmement grave, appelant une sanction exemplaire !"
- "Maman, je regrette vraiment ! Je ne recommencerai plus, c'est promis !"
- "C'est bien mon intention ma fille. Pour m'en assurer, et te punir comme tu le mérites, je vais te donner une fessée longue et sévère, jusqu'à ce que tu ai les fesses toutes rouges et que je sois persuadée que le message est bien passé."
- "Maman non  Je le mérite je sais ! Mais ne sois pas trop sévère s'il te plait, je t'en supplie Maman !"
- "Et maintenant tu file dans la chambre, et tu t'agenouille au coin en m'attendant."



samedi 12 mars 2016

De retour à la maison

- "Sophie, te voilà enfin !"
- "Oui Maman", penaude
- "Nous allons avoir une petite explication toutes les deux"
- "Oh maman ! Je regrette tu sais !", baissant les yeux



- "Oui ma fille, heureusement que tu regrettes ce que tu as fais. Ce serais un comble si tu n'avais pas conscience de ta faute. Mais crois-moi je vais te le faire regretter encore plus. Nous allons d'abord parler de ton comportement avec Mme LAMBERT, et en quoi il est inadmissible. Ensuite nous irons dans ma chambre je t'administrerai une bonne correction. Quand j'en aurai terminé avec tes fesses, je te garantie qu'elles seront bien rouges."




- "Maman non ! Je t'en supplie ! J'ai 18 ans Maman !"
- "Oui ! Justement tu as 18 ans ! Mais tu ne t'es pas pour autant comporté en jeune fille responsable et bien éduquée. Tu as donc encore besoin que tes parents te donnent la fessée."
- "Maman ! Je t'en prie, ne me donne pas la fessée !"
- "Tu préfère que ce soit Papa qui te trousse, te déculotte et te punisse ?



- "Oh non Maman, j'aurai trop honte ! Je préfère encore que ce soit toi."
- "Je te comprend Sophie. Il y a effectivement des choses qu'il vaut mieux garder entre une mère et sa fille."
- "Mais quand même Maman, à 18 ans les filles ne reçoivent plus la fessée en général !"



- "En général, mais pas chez nous. Tu es peut-être légalement majeure, mais tant que tu vis à la maison et que tu n'est pas mariée, tu reste sous notre autorité. J'ai toujours veillé à ce que mes filles reçoivent la meilleure éducation, et je tiens à ce que vous ayez une conduite irréprochable, en tous domaines. Sinon, c'est la fessée, quel que soit votre âge."l
- "Maman, quand même !"
- "Non Sophie ! C'est la règle à la maison. Souviens-toi de ta soeur aînée. Elle s'est mariée à 25 ans. Lorsqu'elle avait 24 ans, alors qu'elle travaillais déjà comme institutrice depuis 1 an, 



j'ai été obligée de rectifier ses écarts de conduite et de lui administrer une bonne fessée, déculottée, comme celle que tu vas recevoir tout à l'heure. Et je lui ai donné sa toute dernière fessée à peine un mois avant son mariage."



-"Oui Maman, je m'en souviens bien en effet."
-"Alors ce soir, tu n'y échapperas pas toi non plus, Sophie" - "Oui Maman"

jeudi 10 mars 2016

Une logeuse mécontente

Chère Madame Lemercier,

Je me permet de vous écrire car j'ai des problèmes avec votre fille Sophie. Lorsque j'ai accepté de vous louer sa chambre j'avais clairement spécifié une extinction des feux à 22h (ce qui me semble d'ailleurs une heure convenable pour une jeune étudiante) ou pour le moins qu'elle s'abstienne de faire du bruit. Les débuts se sont bien passés, mais au bout d'un mois environ les habitudes de Sophie ont commencé à sérieusement dériver. Aujourd'hui, elle ne se couche jamais avant minuit, au minimum. Souvent c'est même plutôt à une ou deux heures du matin.

Si au moins elle ne faisait pas de bruit, cela ne me gênerait pas. Mais elle écoute souvent de la musique trop forte et, même si elle ne fait pas trop de bruit, lorsqu'elle se décide enfin à se coucher elle prend sa douche et me réveille alors à chaque fois.

J'ai déjà essayé plusieurs fois de lui rappeler les règles fixées au départ. Elle m'écoute plus ou moins poliment, parfois avec un brin d'insolence, mais, au mieux au bout de quelques jours, elle recommence à n'en faire qu'à sa tête. Je n'en peux plus. Mon sommeil est complètement troublé et, une fois réveillée, je n'arrive plus à retrouver le sommeil.

Je sais que vous êtes une famille sérieuse et que ces désagréments cesseront rapidement. Je vous remercie donc d'en parlez à votre fille au plus vite, afin que la vie de la maison reprenne son cours normal.

Dans l'attente je vous prie de recevoir, Chère Madame, mes sincères et cordiales salutations.

Madame Lambert





Chère Madame Lambert,

Je suis profondément confuse d'apprendre que ma fille Sophie s'est mal conduite. Je vous prie d'accepter mes plus plates et sincère excuses pour ce comportement inadmissible.

Je comprend et partage tout à fait votre point de vue et vais naturellement prendre les choses en main dès ce week-end. Sophie peut bien préparer son derrière. Sa conduite est en effet parfaitement inadmissible et je vous garantis qu'elle va sentir ses fesses. J'ai en effet toujours veiller à donner à mes filles une bonne éducation et je ne tolère absolument pas l'impolitesse, l'insolence la désobéissance. Je vous promet donc que je vais lui chauffer longuement les fesses et la sermonner vertement. Et naturellement, elle devra ensuite vous faire des excuses.

En vous priant à nouveau de m'excuser pour ces désagréments que vous avez subis, je vous prie de recevoir, Chère Madame, mes remerciements sincères et mes cordiales salutations.

Madame  Lemercier



PS : vous pouvez prévenir Sophie qu'une bonne déculottée l'attend quand elle rentrera à la maison



lundi 26 octobre 2015

La fille sage et la vilaine fille


"Une fille sage regrette sa mauvaise conduite et éprouve un sentiment de contrition. Elle souhaite réparer son acte, se repentir et être pardonnée. Préparant ainsi la réadmission dans la communauté dont elle a enfreint les règles. La fille sage sait que le pardon ne lui permet pas d'échapper aux sanctions. 



Au contraire, elle comprend que sa mauvaise conduite nécessite une punition et elle l'accepte loyalement. En y concédant docilement, elle montre un état d’esprit de sincère repentance pour se sentir ensuite soulagée de sa culpabilité.



*******

La vilaine fille, au contraire, ne sent pas la contrition. Elle ne regrette pas son mauvais comportement pour le fait, mais par peur de punition. Elle éprouve un sentiment de guerre intérieure permanente. Elle ne se sent pas responsable de ses actes. Si elle y est confrontée, elle nie tout en bloc. 






















Si cela n’est pas possible, elle promet de ne plus jamais recommencer en exprimant son regret uniquement sous la force quand la canne ou savate s’abat sur son derrière. Elle se sent littéralement punie car elle ne réalise pas d’avoir fauté." 
(©Photino 2003)

https://www.flickr.com/photos/7505945@N08/9368862807/in/faves-41780009@N04/



dimanche 11 octobre 2015

Confidences entre mère et fille

- Sophie ?

- Oui Maman.

- Viens avec moi dans la chambre s'il te plaît, je voudrais te parler.

- D'accord

- Asseyons-nous sur le lit


- Je voulais te féliciter ma chérie, pour la démarche que tu as entreprise. Nous avons eu ton fessologue au téléphone. Il nous as raconté que tu avais été le voir deux fois, et que la deuxième fessée qu'il t'a donnée a été particulièrement sévère. 

- Oui Maman, c'est vrai. Mais je la méritais bien.

- Il nous a dis pourquoi tu l'avais réclamé. C'est vrai que tu étais parfois si insolente, désobéissante, et même parfois irrespectueuse avec nous. 

- Oh Maman ! Je te demande pardon !

- Ne t'inquiète pas ma chérie, tout est pardonné, et depuis bien longtemps. Mais ton père et moi sommes particulièrement fiers de toi aujourd'hui, maintenant que nous avons appris l'engagement que tu as pris.

- Merci Maman ! Je t'aime !


- Mais attention ma fille ! J'espère que tu vas continuer sur cette bonne voie. N'oublie pas que, conformément à ce que tu as demandé dans ton contrat, nous n'hésiterons pas à signaler toute mauvaise conduite qui réapparaitrait. C'est clair ma chérie ?

- Oui Maman. Je te remercie. Pour rester sur la bonne voie j'ai besoin de votre soutien, à toi et à Papa.

- Tu peux compter sur nous Sophie. 

- Merci. Vous êtes des bons parents. Je mesure ma chance de vous avoir.

- Allez ! Assez bavardé. Nous avons du travail en cuisine. Tu viens m'aider ?

- Oui Maman, bien sûr !



mardi 6 octobre 2015

Moment de honte dans la salle de bain !

Bonjour Docteur,

Je suis heureuse que vous me félicitiez pour mes progrès. Même si je manque toujours trop souvent de temps - et oui ! J'ai repris les cours à la fac - je vous promet de ne pas oublier de mettre à jour mon blog et d'y conter la suite de mes mésaventures !

Pour ce qui est de raconter mes fessées à mes parents, je vous avoue être vraiment gênée et je ne crois pas que ce soit une bonne idée. Je pense d'ailleurs que mes parents seraient du même avis que moi, et qu'il leur suffit de savoir qu'ils sont maintenant sérieusement secondés. 

J'ai d'ailleurs été extrêmement gênée l'autre weekend, après la deuxième fessée que vous m'avez administrée. Dimanche soir alors que je sortais de ma douche, ma jeune sœur qui faisait elle aussi sa toilette a aperçu vos marques rouges sur ma fesse droite. 


- "Oh ! Qu'est-ce que c'est ? Tu as reçu une fessée ?"

- "Mais non ! Qu'est-ce que tu vas imaginer ! "

- "Pourtant ça ressemble aux marques d'une bonne fessée. Comme celle que Maman t'a donnée lorsque tu avais 19 ans. Tu te rappelles ?"

- "Si je m'en rappelle ? À 19 ans ce n'est pas une fessée qu'on oublie !"

- "Et c'est bien les marques d'une fessée à la brosse. Tu sais Sarah, Aline et moi on en reçois aussi quand on n'est pas sage. Je sais à quoi ça ressemble."


- "Oh la la ! Tu as trop d'imagination Camille. A mon âge, on ne reçoit plus la fessée. La fessée, c'est pour les petites." ( et tac !)

- "D'un autre côté, j'aurais du entendre si Maman t'avais donné une fessée ce week-end. C'est bizarre."

- "Alors tu vois, tu le dis toi-même ! Je n'ai pas reçu de fessée, je suis juste tombée sur le derrière, c'est tout !" Bafouillais-je en devenant toute rouge

- "Si c'était vrai, tu ne deviendrais pas toute rouge comme cela ! Je suis sûre que tu as reçu une fessée, et une belle. D'ailleurs tu étais vraiment insolente avec les parents depuis quelques semaines. On a tous pensé à la maison que tu aurais besoin d'une bonne fessée. Et bizarrement, tu es toute calme ce week-end. Peut-être que Maman est venue cette semaine te donner une fessée dans ton studio à Paris. C'est ça ?"


- " Mais tu va me ficher la paix à la fin s'il te plait ! Tu veux que je te mette une giffle ?"

- "Si tu fais ça, je dis tout à Maman !"

- "Pfff ! "


Je suis toute confuse en vous racontant cela. Je ne sais pas ce qui me prend, mais cela me fait du bien en même temps. 

Je crois que ce petit moment de honte face à ma sœur - rien à voir avec celui, tellement mortifiant, de l'autre jour, lorsque vous avez abaissé ma culotte - a été pour moi une bonne petite piqure de rappel. Je suis certes une grande maintenant, mais je reste une fille. 
Donc jamais trop âgée pour recevoir une bonne fessée déculottée lorsque je le mérite. 

Et je vous suis tellement reconnaissante de m'avoir reprise en main comme j'en avais besoin.

Profitez bien de la fin de vos vacances Docteur.
A bientôt (Non, au plus tard possible plutôt. ;-)


Sophie, bien sage en ce moment





Le 22 sept. 2015 à 21:36, Dr Spank a écrit :
Bonjour Sophie,

Mes vacances se sont bien passées, le climat a été clément. J'en ai profitez pour me reposer la main jeune fille ! et regonfler mon énergie, alors faites attention à votre comportement.

Je constate que vous n'êtes pas restée inactive durant mes vacances et je vous en félicite. Nous avions en effet parlé du fait que votre blog était à l'abandon et j'ai pu constater avec plaisir qu'il avait de nouveau repris vie. De plus, je suis fort aise de voir que vous m'avez envoyé les posts directement sans que je n'ai eut à les chercher. Je vois que vous rougir les fesses à été bénéfique sur votre comportement jeune fille ! J'ai aimé le récit de votre première fessée et j'attends avec impatience le suivant.

De plus, vos parents m'ont contacté suite à notre séance, j'ai constaté avec regrets que vous ne leur aviez pas expliqué le pourquoi de votre changement de comportement. En voila des manière Sophie ! Il est important puisque vous les avez offensé et leur avait manqué de respect que pour vous amendez vous leur décriviez notre séance. J'ai donc fait votre travail jeune fille et leur ai expliqué brièvement ce que vous aviez reçue. Mais sachez que je ne suis pas content de cela ! J'attends donc que vous revoyez celà avec eux Sophie ! sinon vous savez ce que vous risquez !

J'attends de vos nouvelles jeune fille, je suis en ce moment un peu plus disponible mais toujours en vacances jusqu'à la fin du mois.

Sévèrement votre

Dr Spank



mardi 22 septembre 2015

Première déculottée


Résignée, je me suis docilement laissée conduire sur ses genoux. 

J'anticipais une fessée exemplaire, et je ne me suis pas trompée. Le Docteur m'a immédiatement troussée, et copieusement fessée.



Je tachais de rester stoïque et de recevoir courageusement ma fessée. D'autant plus que le Docteur m'avait clairement indiqué que cette fois-ci je n'échapperai pas à la déculottée.

Celle-ci n'a pas tardé à venir. Etonnée d'une courte pause accordée pendant cet orage, j'ai tout à coup senti ses mains saisir l'élastique de ma culotte. J'ai eu un bref geste de défense, bien inutile, et l'ai supplier de n'en rien faire, promettant d'être dorénavant une fille exemplaire avec mes parents.


Naturellement il a poursuivi sa tâche, ainsi qu'il se devait. La fessée à repris de plus belle, sur mes pauvres fesses désormais dépourvues de la moindre protection.


Les claques tombaient avec une précision de métronome. Cinq claques sur une fesses, bien réparties afin de garantir un échauffement et une teinte uniforme, puis sans aucune pause cinq claques sur l'autre fesse selon la même méthode. Ainsi sans interruption pendant un temps qui me sembla une éternité.

Puis le Docteur marqua une pose. Sans me lâcher, me tenant toujours fermement par la taille, il entrepris de me sermonner à nouveau.


- "Vous avez désobéi à vos parents et été insolentes avec eux jeune fille. Vous avez d'autant mois d'excuses que vos parents sont sans reproches, et qu'ils ont veillé à vous donner la meilleure éducation et vous transmettre de bonne valeurs."

- "Oui Docteur. J'ai honte, je regrette vraiment."

- "Et votre conduite est d'autant plus inadmissible que vous être par ailleurs une jeune catholique, observante et pieuse. Vous ne pouviez ignorer que l'Evangile, et tout l'enseignement de l'Eglise, enseigne l'importance du respect du aux parents. Vous le saviez Mademoiselle ?"


- "Oui Docteur !" répondis-je en pleurant

- "Je suis heureux de constater que votre contrition semble profonde et sincère. Mais pour que votre rédemption soit totale, votre punition doit être exemplaire."

- "Oh Docteur ! J'ai déjà les fesses en feu"

- "Pas encore Mademoiselle, mais bientôt, je vous le promet. Pour cette faute inadmissible, une correction exemplaire s'impose. Je vais donc terminer votre fessée par quelques minutes avec la brosse à cheveux. Une fessée à la brosse à cheveux est une expérience mémorable. Les résultats n'en sont que meilleurs."


- "Nooon, je vous en supplie Docteur ! Pas la brosse !!!" hurlais-je désespérée

En effet il me revenait immédiatement à l'esprit les fessées mémorables administrées par Maman, à moi ou à mes soeurs, pour les fautes les plus graves. Des moments terribles, qu'aucune jeune fille ne peut oublier.


J'ai eu beau supplier désespérément avec toutes les larmes de mon corps, le Docteur a tenu sa promesse. La fessée repris de plus belle, atrocement cuisante sur ma peau sans défense. Je criais et battais bras et jambes, implorant pardon et promettant d'être sage, mais rien n'y fit. Une danse terrible qui me paru interminable.

Quand elle cessa enfin, je sanglotai quelques minutes sur ses genoux, comme inerte et agitée seulement de brefs soubresauts. Il me consola et m'envoya quelques minute au coin pour finir de me calmer et réfléchir à ce qui venait de m'arriver.

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En début d'après-midi je retrouvai comme prévue ma copine Sylvie. Celle-ci me proposa d'aller à la piscine. Je piquai immédiatement un fard et déclinai, prétextant avoir mes règles. Aucune envie que toute la piscine découvre mes fesses toutes rouges ! J'en aurais littéralement été morte de honte.




lundi 21 septembre 2015

Envoyée au coin avant ma punition, afin d'y réfléchir sur ma mauvaise conduite... et ses conséquences


"One of those lovely reminders that no girl is ever too old to be brought back into line if she forgets the rules on good manners and behaviour…"

Source : 
http://oh2bagirlygirl.tumblr.com/post/83550413056


- Sophie !

- Oui Docteur ?

- Levez vous jeune fille, et venez maintenant vous coucher sur mes genoux.


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dimanche 20 septembre 2015

Deuxième rendez-vous chez le Docteur Spank


Vendredi matin, me voilà bien malgré moi de de retour chez mon fessologue 


- Le Père Lecordier m’a expliqué vos problèmes avec l’autorité parentale. Vous avez trop souvent tendance à vous révolter, et à désobéir à vos parents.

- Oui, je le reconnais, et c’est ce que je voudrais changer !

- Vous êtes majeure certes. Mais vous n’êtes pas mariée. Ce sont donc toujours vos parents qui ont autorité sur vous. Nous sommes d’accord ?

- Oui Docteur.

- De plus vous ne travaillez pas. Vos parents financent vos études, votre logement à Paris, etc. Vous revenez d’ailleurs chez eux en province tous les week-end.

- Oui, c’est bien cela.

- Donc, que vous ayez 24 ans n’y change rien. Vous êtes encore pleinement sous l’autorité de vos parents. A ce titre vous leur devez respect et obéissance.



- Oui, je suis d’accord.

- Pourtant, ce n’est pas toujours ce que vous faites.

- Oui Docteur, parfois je me conduis mal.

- Trop souvent ! A plusieurs reprises vous vous êtes confessée auprès de votre aumônier, et pris l’engagement de vous amender. Malgré cela vous persistez à vous révolter, à être insolente, et à désobéir à vos parents.

- Je le regrette. Vraiment.

- Je vais veiller à vous le faire regretter plus encore, jeune fille. Vous allez recevoir une bonne fessée. Vous comprenez ce que cela signifie.

- Oui. Sniff !

- Quand vos parents vous ont-ils donné votre dernière fessée Mademoiselle ?



- Il y a 5 ans. J’avais 19 ans. J’avais fait une très grosse bêtise, et Maman m’a donnée une fessée magistrale, à la brosse à cheveux ! Je ne suis pas prête de l’oublier !

- Vous étiez déculottée ?

- Bien sûr. Maman considère qu’une bonne fessée doit toujours être déculottée. Ni moi ni mes soeurs n’y vont échappé.



- Je le pense aussi. Cette fois-ci vous n'allez donc pas y couper.

- Oh mon Dieu ! Vous ne serez quand même pas trop sévère j’espère ?

- Cela, j’en suis le seul juge Sophie. 

- Oui Docteur, bien sûr.

- Allez Sophie ! Je crois que nous avons assez parlé. Allez vous mettre au coin et repentez vous une dernière fois de vos fautes. Demandez au Seigneur de vous aider à bien profiter de l’épreuve qui vous attend.

- « Oui Docteur, tout de suite » murmura humblement Sophie en gagnant le coin comme prescrit.

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samedi 19 septembre 2015

Ma toute première fessée d'adulte


Après m'avoir bien sermonnée le Docteur m'a installée sur ses genoux et a commencé à me fesser sur ma jupe.


A mon âge, il est extrêmement gênant de se retrouver en pareille position pour y recevoir une fessée. Mais d'un autre côté je me sentais rassurée et entre de bonnes mains.

Le Docteur n'y allait pas de main morte. Bien que protégées par ma jupe mes fesses commençaient à sérieusement chauffer. J'ai prié le Docteur d'arrêter, lui assurant que j'avais bien retenu ma leçon.


- Vous plaisantez Mademoiselle, arrêter la fessée tout de suite, alors que je ne vous ai même pas encore remonté la jupe ! 

- Oh non ! Ne me troussez pas je vous en prie ! Je ne veux pas que vous voyiez ma culotte ! S'il vous plaît Docteur !

- Pour cela Mademoiselle, il ne fallait pas imprudemment montrer votre culotte aux passants. J'espère bien que vous avez honte, et cela fait partie du traitement.
dit-il en en entreprenant de retrousser ma jupe


A 24 ans, je me retrouvais ainsi sur les genoux d'un homme ! D'un quasi-inconnu. Jupe retroussée et culotte exposée, mes fesses chauffées au rouge sous ses assauts déterminés. Quelle honte pour une jeune fille indépendante de mon âge ! Mais aussi une punition bien méritée, dont le souvenir et la crainte du renouvellement m'aideront à bien me tenir à l'avenir.




Je continuerai bien sûr à porter des jupes et robes courtes. Car je suis fière d'être une femme et fière de mes jambes, et que j'adore sentir le vent et le soleil sur ma peau. 

Mais c'est promis, maintenant je serai plus prudente !





vendredi 18 septembre 2015

Sermonnée pour mon inattention

- Sophie ?

- Oui Docteur ?

- Vous savez pourquoi je vous ai convoquée aujourd’hui ?

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- Je crois Docteur. Ma mère m’en a parlé dimanche soir quand j’ai repris le train pour Paris.

- Sophie. Je sais que vous êtes une jeune fille sage et vertueuse. A cet égard c’est très bien, contrairement malheureusement à une majorité de jeunes filles aujourd’hui, de veiller à vous mettre en jupe en toutes circonstances.

- Merci

- Néanmoins, quand vous êtes en jupe, surtout en jupe courte à cette saison, il faut bien faire attention à n’en pas montrer plus que vous devez. Se mettre en jupe c’est très bien ; mais montrer sa culotte c’est plus vilain. Votre mère vous à pourtant appris à serrer les genoux, les bons gestes à apprendre pour s’assoir, se baisser, se lever, etc ?

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- Oui Docteur. C’est entièrement de ma faute, j’en ai vraiment honte. Pourtant le sais et j’essaye de faire bien attention. Pourtant parfois cela m’échappe et je pêche par inattention.

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- Trop souvent Mademoiselle. Vos parents vous l’ont souvent fait remarquer. Sans amélioration durable jusqu’ici.

- Oui. Vous avez raison.

- Et que va-t-il se passer maintenant ?

- Vous allez me donner une fessée ?

- Oui. Et même une bonne fessée. Et vous ne garderez pas votre jupe cette fois-ci.

- Oh non Docteur, s’il vous plaît ! C’est seulement ma deuxième fessée !

- Vous avez montré votre culotte en public jeune fille, vous allez aussi me la montrer. Et je vous promet une paire de fesses toutes rouges.

- Oh mon Dieu !

- Sophie ?

- Oui Docteur ?

- Vous êtes prête ?

- Alors venez maintenant sur mes genoux jeune fille.

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Arrivée au cabinet du Docteur SPANK


- Bonjour Mademoiselle

- Bonjour Docteur

- Asseyez vous je vous en prie

- Merci

- Vous m’avez été adressée par le Père Lecordier de l’ACEF. Je travaille régulièrement avec lui. C’est un aumônier de grande qualité.

-  Oh oui, en effet !

- Et je vous félicite, Mademoiselle, d’avoir fait ce choix courageux. Il se développe, mais reste encore minoritaire. On estime que seules 10% des jeunes filles bénéficient d’un suivi disciplinaire régulier.

- Je crois que cela me fera du bien.

- J’en suis persuadé Mademoiselle. Et je vois que vous avez choisi l’option «double transparence ». Je vous félicite. Comme le père Lecordier vous l’a expliqué, la confidentialité est levée de manière double.
D’une part le père Lecordier est, vis à vis de moi, délié du secret de la confession. Il pourra donc m’avertir des fautes que vous lui aurez confessé, et me faire toutes suggestions sur la discipline qu’il pensera utile.
D’autre part vos parents sont également avertis de la signature de ce contrat disciplinaire, et disposent de mes coordonnées. Ils peuvent donc eux aussi me tenir informé sur votre conduite, bonne ou mauvaise, et son évolution. Et suggérer eux aussi de vous punir.

- Oui. Je suis d’accord. Ainsi rien ne vous sera caché. Je ne me torturai pas à me demander comment avouer. Et je serai punie comme je le mérite, selon votre jugement.

- Vous avez parfaitement compris les choses Sophie. C’est très bien.

- Merci Docteur

- Je tiens à vous prévenir Mademoiselle. Je n’hésite jamais à faire preuve de toute la sévérité nécessaire. Recevoir une fessée n’est pas agréable, et le temps parait alors bien long. Une fessée fait mal. Toujours. Les fesses rouges sont généralement de rigueur. Une fessée met aussi à mal l’amour-propre et la pudeur : sauf exception, notamment au début, vous serez troussée et déculottée. Vous en êtes consciente jeune fille ?

- Oui Docteur ! Le père Lecordier m’a déjà expliqué tout cela. J’en suis consciente et je l’accepte. Je sais que c’est nécessaire, et que c’est pour mon bien.

- Les choses sont donc bien claires et acceptées. Je vous félicite encore Mademoiselle Sophie. Vous êtes une fille sérieuse et intelligente.

- Merci Docteur. Mais si j’étais si parfaite je ne serais pas ici dans votre bureau. Glups !

- Effectivement Sophie, et il est temps que nous en parlions…

- Oui




mercredi 16 septembre 2015

Aller à sa première fessée...

"Aller à sa première fessée c'est vivre, avant, une foule de sentiments paradoxaux : crainte, appréhension, envie, excitation... 


Pour ma part, même si je sais maintenant ce qu'est une fessée, je ressens chaque fois ces sentiments .../... cette imagination un peu affolée qui court toute seule" 

Mélanie

lundi 14 septembre 2015

Chez mon directeur de conscience (suite) : le contrat

- Sophie, vous n’êtes pas un cas unique. En temps qu’aumônier je confesse et conseille de nombreuses jeunes filles. Vous n’êtes pas la première avec qui j’ai cette discussion, rassurez vous. Et je connais effectivement un fesseur de toute confiance, qui pourra vous apportez ce supplément d’autorité et de discipline dont vous avez besoin. 

- Oh mon père, je vous remercie infiniment ! Que deviendrai-je sans vous !

- Ce n’est rien Sophie, je ne fais que mon devoir. Et vous êtes une fille intelligente et mûre, tout à fait capable de bien diriger votre vie.

- Merci mon père.

- Allez, je vais maintenant vous présenter le contrat que je vous propose. Il est exigeant, et comporte des contraintes. Une fessée, une vraie fessée, fait mal. Parfois même très mal. Recevoir une fessée disciplinaire n’est pas un moment de plaisir, je vous le garantie. 

- Oui, je m’en doute. J’ai déjà reçu des fessées par mes parents quand j’étais plus jeune.

- Et maintenant vous êtes une adulte. Attendez vous donc à des fessées plus sévères que lorsque vous étiez enfant ou adolescente.

- Oh mon Dieu !

- Oui. Car vous êtes maintenant plus grande, et donc plus résistante. De plus et surtout, vous n’êtes plus une adolescente mais êtes maintenant une adulte. Vous devriez vous comporter de manière irréprochable, ainsi que se sont efforcés de vous l’enseigner vos parents. Donc si vous ne le faites pas, vous méritez d’être punie plus sévèrement. Vous êtes d’accord ?
- Oui mon Père. Vous me faites honte, mais je le mérite.

- Une honte que vous éprouverez encore plus vivement lorsque votre fesseur vous couchera sur ses genoux, vous retroussera la jupe, vous abaissera la culotte.

- Mon Dieu ! Que n’ai-je été plus raisonnable !

- A défaut d’avoir été, par moments, tout à fait raisonnable, soyez maintenant une jeune fille digne et responsable. Acceptez loyalement les corrections que vous avez méritées. Recevez les docilement, comme il sied à une jeune fille bien éduquée. Elles sont une chance pour vous, vous permettront de mieux vous amender et de devenir meilleure. En outre recevoir une bonne fessée après une faute vous soulagera la conscience. Vous vous sentirez plus légère, moins coupable, mieux pardonnée. Par le Seigneur comme par vos prochains que vous auriez offensé (ce qui ne vous dispense pas de leur demander pardon, bien sûr).

- Vous avez raison mon Père. 

…/…