vendredi 18 septembre 2015

Arrivée au cabinet du Docteur SPANK


- Bonjour Mademoiselle

- Bonjour Docteur

- Asseyez vous je vous en prie

- Merci

- Vous m’avez été adressée par le Père Lecordier de l’ACEF. Je travaille régulièrement avec lui. C’est un aumônier de grande qualité.

-  Oh oui, en effet !

- Et je vous félicite, Mademoiselle, d’avoir fait ce choix courageux. Il se développe, mais reste encore minoritaire. On estime que seules 10% des jeunes filles bénéficient d’un suivi disciplinaire régulier.

- Je crois que cela me fera du bien.

- J’en suis persuadé Mademoiselle. Et je vois que vous avez choisi l’option «double transparence ». Je vous félicite. Comme le père Lecordier vous l’a expliqué, la confidentialité est levée de manière double.
D’une part le père Lecordier est, vis à vis de moi, délié du secret de la confession. Il pourra donc m’avertir des fautes que vous lui aurez confessé, et me faire toutes suggestions sur la discipline qu’il pensera utile.
D’autre part vos parents sont également avertis de la signature de ce contrat disciplinaire, et disposent de mes coordonnées. Ils peuvent donc eux aussi me tenir informé sur votre conduite, bonne ou mauvaise, et son évolution. Et suggérer eux aussi de vous punir.

- Oui. Je suis d’accord. Ainsi rien ne vous sera caché. Je ne me torturai pas à me demander comment avouer. Et je serai punie comme je le mérite, selon votre jugement.

- Vous avez parfaitement compris les choses Sophie. C’est très bien.

- Merci Docteur

- Je tiens à vous prévenir Mademoiselle. Je n’hésite jamais à faire preuve de toute la sévérité nécessaire. Recevoir une fessée n’est pas agréable, et le temps parait alors bien long. Une fessée fait mal. Toujours. Les fesses rouges sont généralement de rigueur. Une fessée met aussi à mal l’amour-propre et la pudeur : sauf exception, notamment au début, vous serez troussée et déculottée. Vous en êtes consciente jeune fille ?

- Oui Docteur ! Le père Lecordier m’a déjà expliqué tout cela. J’en suis consciente et je l’accepte. Je sais que c’est nécessaire, et que c’est pour mon bien.

- Les choses sont donc bien claires et acceptées. Je vous félicite encore Mademoiselle Sophie. Vous êtes une fille sérieuse et intelligente.

- Merci Docteur. Mais si j’étais si parfaite je ne serais pas ici dans votre bureau. Glups !

- Effectivement Sophie, et il est temps que nous en parlions…

- Oui




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